Les jeunes vivant dans des quartiers défavorisés peuvent connaître l’isolement et la ségrégation. Ils se sentent alors discriminés et entrent dans un cycle d’exclusion.


Aucun jeune ne devrait être exclu, ni vivre dans des quartiers marqués par l’isolement et la ségrégation.

Les pouvoirs publics devraient reconnaître que TOUS les jeunes, à égalité, ont le droit d’accéder aux services publics essentiels : services pour l’emploi, transports publics, maisons de jeunesse et de quartier, bibliothèques publiques, technologies de l’information et de la communication, bureaux de poste, etc.

Les pouvoirs publics devraient chercher à proposer aux jeunes les plus isolés, au sein des communautés les plus défavorisées, des informations, des programmes d’éducation non formelle et d’autres occasions de participer, à travers par exemple un « travail de jeunesse mobile ». Ils devraient également répondre, dans leurs stratégies d’amélioration, aux besoins spécifiques des jeunes habitants des quartiers défavorisés. Ces stratégies devraient passer par une coopération transversale, au-delà des différents secteurs et échelons territoriaux.
 

 Plus d’informations sur la lutte contre la ségrégation et la promotion de l’inclusion (À prendre au sérieux, chapitre 6)