Contexte
Un père en deuil étaient très préoccupé par l’enquête sur la mort de sa fille. Il pensait que la police bloquait l’enquête sur le meurtre parce qu’un fonctionnaires de police était soupçonné.
S.J., la fille de Maigonis Emars, avait été retrouvée morte à son domicile le 21 mai 2004.
La police a d'abord traité sa mort comme un suicide, mais Maigonis Emars savait que S.J. n'avait aucune raison de se suicider. Il a déclaré à la police qu’il pensait qu’elle avait été assassinée.
Deux mois plus tard, des experts médico-légaux ont découvert de nouveaux éléments de preuve donnant à penser que la mort de S.J. était due à un acte criminel. La police a donc entamé une enquête pour meurtre.
A.J., le mari de S.J., a été interrogé comme suspect. Des témoins ont vu sa voiture devant la maison du couple la nuit avant que le corps de S.J. ne soit retrouvé. Mais A.J. avait un alibi. Il était policier et ses collègues ont dit qu'il avait passé la nuit avec eux au poste de police local.
Maigonis Emars était certain que A.J. était impliqué dans le meurtre de sa fille et que ses collègues le protégeaient. Il s’en est plaint aux autorités. Celles-ci lui ont répondu que l’enquête était menée de manière équitable et que rien ne laissait penser que la police la bloquait.
Par la suite cependant, les autorités ont annoncé à Maigonis Emars que deux officiers de police avaient fait l’objet de mesures disciplinaires en raison d’insuffisances de l’enquête. L'un des agents avait été accusé d’avoir commis une infraction pénale en raison de la façon dont il avait examiné la scène où le corps de S.J. avait été trouvé. Il a ensuite été innocenté.
Personne n’a jamais été accusé du meurtre de S.J..