• procède à une évaluation des risques du/des secteur(s) audité(s) en vue de sélectionner les sous-secteurs ou processus à examiner de plus près ;
• recueille et analyse des informations et des données ;
• prépare le programme d’audit, qui inclut les objectifs globaux et les techniques d’audit à utiliser ;
• délivre une lettre de mission indiquant les objectifs d’audit, le nom des personnes chargées de mener et de superviser l’audit et le calendrier prévu pour la réalisation de l’audit ;
• rencontre les secteurs audités lors d’une réunion de présentation/lancement.

• sollicite et analyse des informations et données (supplémentaires) ;
• conduit des entretiens afin de recueillir des informations approfondies et/ou de clarifier tout point qui le nécessite ;
• réalise des tests.

Les résultats du travail sur le terrain aboutissent à des constats préliminaires et à des projets de recommandations qui sont au besoin d’abord discutés avec les secteurs audités. Ils font ensuite l’objet d’un rapport d’audit.

Les projets de recommandations sont classés par ordre de priorité. Le niveau de priorité attribué à une recommandation d’audit interne tient compte du niveau de risque potentiel que la recommandation entend traiter ("grave", "important", "modéré" ou "faible").

Conformément aux normes internationales pour la pratique professionnelle de l’Audit interne¹, une opinion d’audit est donnée également pour chaque secteur audité. Cette opinion ("adéquat", "améliorations possibles", "mesures correctives nécessaires", "inadéquat") s’appuie sur les résultats des diverses procédures appliquées dans le cadre de l’audit.

^[1] Institut des Auditeurs internes, Cadre de référence des pratiques professionnelles et Code d’éthique

• Le projet de rapport d’audit (comprenant l’opinion d’audit et un projet de plan d’action) est envoyé au(x) secteur(s) audité(s) pour commentaires.
• Le rapport d’audit définitif est envoyé au ou à la Secrétaire Général-e, au(x) secteur(s) audité(s), au Comité consultatif d’Audit et d’Évaluation et à l’Auditeur externe.
• Le ou la Secrétaire Général-e est informé-e du suivi des recommandations par le rapport annuel de la DIO sur le suivi des recommandations d’audit.
• Le Comité des Ministres est informé des travaux de l’Audit interne, y compris des suites données à ses recommandations, par le rapport annuel de la DIO, qui inclut également les principales conclusions de chaque audit ou d’autres missions réalisées.