Des représentants gouvernementaux mettent en exergue les progrès et lacunes
de leur législation nationale
9 octobre 2007 – Espoo (Finlande)
Lors de la discussion de clôture du séminaire régional du Conseil de l’Europe
sur “l’assistance et la protection des victimes de violence domestique : les
services nécessaires” (anglais) animée par Mme Ruth-Gaby Vermot-Mangold, membre de l’APCE,
des représentants gouvernementaux ont mis en exergue les progrès et les lacunes
de leur législation, leurs méthodologies et leurs approches professionnelle.
Alors que plusieurs pays ont indiqué leur souhait d’adopter les mesures de
protection minimales décrites dans le rapport de M. Mendes Bota et la Résolution
1582 (2007) – telles que “Faire de la violence domestique envers les femmes, y
compris le viol marital, un crime ” (Lituanie et Russie), “Créer suffisamment de
foyer sur le territoire national” (Estonie, Finlande), d’autres ont indiqué
qu’ils étaient prêts à aller au-delà : “Améliorer la coordination des acteurs au
niveau local et régional” (Norvège, Estonie), “Améliorer l’éducation et la
formation à tous les niveaux” (Islande), “Mieux encadrer la médiation” (Norvège)
et “Améliorer l’assistance aux auteurs de violence domestique” (Danemark).
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Danemark : Soeren Felbaek, Direction de l’Egalité des
chances, Ministère des Affaires sociales
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Estonie : Maarja LUHISTE, Spécialiste en chef sur la
violence domestique, Ministère des Affaires sociales
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Finlande : Helena EWALDS, Administrateur principal,
Ministère des Affaires sociales
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Islande : Sigrun JONSDOTTIR, Chef de projet à l’université
d’Islande
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Lettonie : Viktorija BOLSAKOVA, Spécialiste en chef, Ministère
de l’Enfance et des Affaires familiales
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Lituanie : Dalia PUIDOKIENE, Directeur du Centre
d’assistance psychologique et social de Klaipeda
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Norvège : Line NAERSNES, Conseiller principal, Police;
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Russie : Galina SHCHUKOVSKAYA, Chef de division adjoint
Droit pénal, Ministère de la Justice
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