Aoife NOLAN (irlandaise)

Présidente
  • Professeure de droit international des droits de l'homme et directrice du Centre juridique des droits de l'homme, Faculté de droit, Université de Nottingham, Royaume-Uni
  • Fin de mandat : 31/12/2028
  •  

 


Eliane CHEMLA (française)

Vice-Présidente
  • Conseillère d'Etat
    Conseil d'Etat, Paris, France
  • Fin de mandat : 31/12/2024

 

 


Tatiana PUIU (moldave)

Vice-Présidente

  • Avocate, spécialiste en droits de l'homme
  • Fin de mandat : 31/12/2024

 

 

 

 


Kristine DUPATE (lettone)

 Rapporteure générale

  • Professeure associée de Droit international et européen, Faculté de Droit, Université de Lettonie
  • Fin de mandat : 31/12/2028

 

 

 

 


József HAJDÚ (hongrois)

  • Professeur de droit du travail et de droit social
    Faculté de Droit, Université de Szeged, Hongrie
  • Fin de mandat : 31/12/2024

 

 

 

 


Karin Møhl LARSEN (danoise)

  • Experte en matière de sécurité sociale internationale et de droit de l'Union européenne (pensionnée)
  • Fin de mandat : 31/12/2026

 

 

 

 


 Yusuf BALCI (turc)

  • Professeur de Droit du travail et des affaire sociales,
    Faculté de commerce, Université de commerce d'Istanbul
  • Fin de mandat : 31/12/2024

 

 

 


Paul RIETJENS (belge) 

  • Ancien Directeur général des Affaires juridiques du Service Public Fédéral des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et de la Coopération au Développement, Bruxelles, Belgique (pensionné)
  • Membre de la Chambre de Recours des Ecoles européennes, Bruxelles, Belgique (depuis 2007)
  • Fin de mandat : 31/12/2026

 

 

 


George THEODOSIS (grec) 

  • Professeur associé de Droit du travail et Directeur du laboratoire de droit social comparé et européen,
    Université Démocrite de Thrace, Komotini, Grèce
  • Fin de mandat : 31/12/2026

 

 

 


Mario VINKOVIĆ (croate) 

  • Professeur de droit du travail et de la sécurité sociale, Titulaire de la Chaire Jean Monnet en droit européen du travail, de l'égalité et des droits de l'homme (2013-2016),
    Faculté de droit, Université d'Osijek, Croatie
  • Fin de mandat : 31/12/2026

 

 

 


Miriam KULLMANN (allemande) 

  • Professeure de droit du travail et de droit de la sécurité sociale - Faculté de droit de l'Université d'Utrecht, Université d'Utrecht, Pays-Bas
  • Fin de mandat : 31/12/2026

 

 

 


 

Carmen SALCEDO BELTRÁN
(espagnole)

  • Professeure du droit au travail et la sécurité
    sociale à l'Université de Valencia (Espagne); 
  • Directrice du Groupe de recherche international sur les droits de l'homme et la Charte sociale européenne
  • Fin de mandat : 31/12/2028

 


Franz MARHOLD (autrichien)

  • Professeur, Dr., juriste émérite
    Institut de droit au travail et à la sécurité sociale en Europe et en Autriche
  • Fin de mandat : 31/12/2028

 

 


  • Alla FEDOROVA (ukrainienne)

  • Professeure associée, Institut de relations internationales Taras Shevchenko, Université nationale de Kyiv. 
  • Fin de mandat : 31/12/2024

 

 

 


    ​
Grega STRBAN (slovène)

  • Professeur, Chef du Département du droit au travail et à la sécurité sociale, Faculté de droit de Ljubljana
  • Fin de mandat : 31/12/2028

 

 

événements

Retour Le rapport d'activités 2019 du Comité européen des Droits sociaux est disponible

Le rapport d'activités 2019 du Comité européen des Droits sociaux est disponible

Le rapport fournit des informations sur les travaux du Comité européen des Droits sociaux réalisés en 2019 dans le cadre des mécanismes de suivi de la Charte sociale européenne : la procédure des rapports et la procédure des réclamations collectives, ainsi que dans le cadre de la procédure relative aux dispositions non acceptées de la Charte. En outre, le rapport comprend des informations sur les relations du Comité avec les organes du Conseil de l'Europe et avec d'autres organisations et partenaires internationaux.

Dans le cadre de la procédure de rapport, le Comité européen des droits sociaux a examiné en 2019 37 rapports nationaux présentés par les États parties à la Charte décrivant la manière dont ils mettent en œuvre la Charte en droit et en pratique en ce qui concerne les dispositions couvertes par le groupe thématique "Enfants, familles et migrants". Le Comité a adopté un total de 896 conclusions, dont 289 cas de non-conformité et 453 cas de conformité. Dans 154 cas, le Comité n'a pas été en mesure d'évaluer la situation par manque d'informations et a reporté sa conclusion.

Les principales conclusions concernent le travail des enfants, y compris les enfants travaillant illégalement dans l'économie formelle et informelle, ainsi que la protection des enfants contre toutes les formes de violence, d'abus et d'exploitation.

Le Comité est de plus en plus préoccupé par le traitement des enfants migrants en situation irrégulière, qu'ils soient accompagnés ou non, et des enfants demandeurs d'asile, en particulier par la possibilité d’accéder à un logement sûr et adéquat.

De plus, le Comité met en évidence la question de la pauvreté et de l'exclusion sociale des enfants, en soulignant l'obligation des États parties de prendre toutes les mesures appropriées et nécessaires pour combattre et éradiquer ces phénomènes.

En ce qui concerne la procédure de réclamations collectives, 15 nouvelles réclamations ont été déposées en 2019 contre 6 États parties. Le Comité a adopté 20 décisions sur le fond et 11 sur la recevabilité, dont 3 décisions déclarant les réclamations irrecevables et 3 décisions demandant aux Etats concernés de prendre des mesures immédiates afin de remédier à la situation.

Les décisions sur le bien-fondé concernaient par exemple le plafond de l'indemnisation dans les situations de licenciement abusif en Italie ; le droit des personnes âgées à une protection sociale contre l'exploitation financière en France ; le droit d'accès à l'éducation et aux soins pour les enfants qui n'ont pas atteint l'âge de la scolarité obligatoire et dont les parents sont au chômage ou en congé de maternité, de paternité ou parental en Finlande ; et le droit à l'égalité de rémunération entre les femmes et les hommes et à l'égalité des chances sur le lieu de travail dans les 15 États qui ont accepté la procédure de réclamations collectives.

En outre, le Comité a tenu plusieurs réunions et échanges avec d'autres institutions et organes, tels que l'Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne, les Nations unies, la Cour interaméricaine des droits de l'homme et le Réseau académique sur la Charte sociale européenne et les droits sociaux (ANESC).

Strasbourg, France 05/10/2020
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Conseil de l'Europe
Direction générale des droits de l'Homme et de l'Etat de droit
1, quai Jacoutot
F – 67075 Strasbourg Cedex

 Tél. +33 (0)3 90 21 49 61

 www.coe.int/socialcharter

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