Dans un rapport publié aujourd’hui, le groupe anti-corruption du Conseil de l’Europe (GRECO) estime que la Suisse a réalisé de réels progrès dans la mise en œuvre de ses recommandations relatives aux incriminations (voir également les versions allemande et italienne du rapport).
En revanche, le GRECO regrette que le gouvernement fédéral maintienne sa position constante à ne pas légiférer sur la transparence du financement des partis politiques et des campagnes électorales.
Le rapport conclut que la Suisse a mis en œuvre de façon satisfaisante cinq recommandations sur onze, à savoir toutes celles sur les incriminations et aucune sur la transparence du financement politique.